- Le projet Deuframat.de
- Internet à l'école
- Internet: qu'est-ce que c'est, qu'est-ce que ça n'est pas?
- Quantité plutôt que qualité
- Sélection et évaluation
- On ne "surfe" pas s'il vous plaît!
- Comment faut-il donc s'y prendre?
- Cours bilingue
- L'utilisation de Deuframat en classe
- Bibliographie
- Education et globalisation - éducation et mondialisation
- L'Europe dans l'enseignement
- La France et l'Allemagne dans une nouvelle Europe
Vous êtes ici: Deuframat > ... > Internet dans l'enseignement > Actualité et obsolescence
Actualité et obsolescence
Sur Internet tout va très vite: des informations concernant des évènements actuels sont souvent plus rapidement mis en ligne par les agences de presse qu'elles ne sont diffusées sur les antennes de télévision ou de radio. Et c'est tout aussi rapidement qu'elles peuvent disparaître: elles sont remisées dans des archives, qui restent certes accessibles, mais plus à l'Adresse sauvegardée, ou alors elles sont retirées du réseau et ne peuvent plus être consultées. C'est notamment le cas pour les sites mis en ligne par des personnes privées, souvent à grands efforts et même d'une manière très professionnelle au niveau technique - mais si la mémoire vient trop chère, si les centres d'intérêt changent ou si quelqu'un se plaint d'une atteinte aux droits de la propriété, alors les auteurs préfèrent souvent renoncer à leur site sur Internet. L'adresse encore vérifiée la veille au soir peut avoir disparu lorsque l'on veut consulter le site en classe, ou du moins être temporairement inaccessible. Dans les parutions scientifiques, pour citer une source Internet on a donc pris l'habitude d'ajouter à l'adresse elle-même (l'"URL") la date à laquelle on a consulté le site en question.
L'un des plus grands problèmes du WWW est le fait que tout peut apparaître, mais aussi disparaître ou se modifier très vite. Les sites les plus stables sont en général ceux élaborés non par des individus, mais par des groupes ou institutions d'une certaine taille. Chez Deuframat par exemple, le suivi des hyperliens est assuré, pour l'avenir également - si l'adresse d'un site change ou disparaît, elle est alors remplacée par la nouvelle adresse ou par celle d'un autre site équivalent.
Source Internet [1]
On peut remédier à ces problèmes en choisissant les sites offerts par des institutions ou groupes d'une certaine importance [2] : ces sites sont dès le départ prévus pour être disponibles sur un longue durée et leur suivi ne dépend pas que d'une seule personne. C'est particulièrement le cas d'universités, de grands musées et d'instituts de recherche. Ils veillent non seulement à la continuité, mais disposent aussi dans la plupart des cas de serveurs performants et d'un personnel de maintenance qualifié et - c'est là le point crucial - répondent de la qualité de l'offre, car il en va de la réputation de l'institution. Cela ne signifie pas qu'il n'y a pas de temps en temps de "liens morts" ou de renvois à des pages de moindre qualité, mais il s'agit là d'exceptions et non de la règle. Chez Deuframat par exemple, le suivi des hyperliens est assuré, pour l'avenir également - si l'adresse d'un site change ou disparaît, elle est alors remplacée par la nouvelle adresse ou par celle d'un autre site équivalent.